mercredi 3 mars 2010

Perles de sagesse


Quelques belles paroles de sages indiens du XXeme siècle. Et nous au XXIème, que disons-nous ?

"Cherchez toujours à vivre dans la joie, à exprimer la joie dans vos pensées et dans vos actes ; sentez sa présence joyeuse dans tout ce que vous voyez ou entendez; cela vous apportera un réel bonheur. La tristesse est fatale à l'homme. Bannissez-la de toutes vos pensées"
Mâ Ananda Môyi

"Vous ne pouvez pas acquérir le bonheur. Il est votre nature fondamentale. La félicité n'est pas une acquisition nouvelle. Tout ce qu'il faut faire, c'est éliminer le malheur.
Ramana Maharshi

Tout bonheur vient de la conscience. Plus vous êtes conscient, plus profonde est la joie. Tout ce que vous désirez, c'est être heureux. Aimez vous comme vous voudrez, avec sagesse. Ce qui est mal, c'est de vous aimer stupidement. Aimez-vous avec sagesse."
Nisargadatta Maharaj

"Pour que fleurissent les fleurs du bonheur et de la joie, il faut éliminer tous les obstacles qui peuvent venir sur le chemin. Vous devez voir qu'aucun autre désir ou aucune autre impulsion ne vous tient en son pouvoir et n'abîme votre joie. Plus vous obtiendrez de satisfactions et d'accomplissements dans le monde extérieur, plus votre coeur sera affermi et plus grandes seront la paix et la béatitude que vous atteindrez."
Swâmi Prajnânpad

"La joie, la béatitude, la paix, voilà ta "queste", l'indépendance et la liberté sont au bout."
Swâmi Râmdâs


Ce qui est bien avec les sages par rapport aux philosophes, c'est qu'ils sont toujours d'accord entre eux : arrêtez de penser... Vivez dans la joie !

Quel bonheur !!!

1 commentaire:

Alexandra de Roulhac a dit…

C'est à ce demander si notre occident a vraiment gagné en sagesse à favoriser la pensée rationnelle ou empirique comme guides pour l'acquérir. Il est vrai que nous avons des Maîtres similaires comme Eckart, Jacob Boehme, Bacon et, plus proche de nous ,Guénon ou Corbin. Malheureusement, notre époque actuelle ne retient que l' à peu près d'un Paulo Coelho, le superficiel d'un Dan Brown en oubliant les merveilleux écrits de Bach et de son Goëland.