jeudi 4 mars 2010

Le bonheur est un poème




On peut mesurer le bonheur, oui, comme on peut mesurer l'intensité du rayonnement des étoiles ou le poids des ailes d'une libellule...

Mais n'oublions pas que le bonheur est dans son essence un poème.


Une frisson de lumière dans la nuit du monde

Une danse de printemps dans les bras de l'hiver

Un sourire d'enfant qui naît sous la caresse du vent

Une fleur qui s'ouvre dans la rosée du matin


Le bonheur est comme l'amour : un mystère d'autant plus insaisissable qu'il est souverainement présent dans l'embrasement de neige de notre émerveillement

Un repas d'éternité dans la ronde des instants

Une caresse de l'âme par le souffle de la vie

Une offrande de joie pour le salut du monde

Ton regard qui s'illumine quand je m'approche les bras ouverts


Bienheureux les poètes du bonheur !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

cher bruno !

délicieuse insomnie, qui permet à ta créativité de faire naître ce magnifique blog. Etoile qui brille dans la nuit de mon coeur quelque fois et qui , grâce à ce blog me redonnera la lumière pour reprendre mon chemin. Je lèverai la tête et d'un clic rejoindrai cette farandole de mots si générateur de bonheur. Le bonheur d'Etre tout simplement !

Je me régale, à chaque ligne savourée et qui m'emplit de certitudes balayant d'un seul revers de souris, tous mes doutes...

Je t'envoi, une giboulée de sentiments tout doux de reconnaissance pour l'Etre que tu es, merci de me montrer le chemin..

Même si je ne suis pas encore passée à l'acte de venir à tes rencontres, dans mon imaginaire c'est très présent. l'étincelle doit encore s'allumer.
Peut tu me renvoyer une référence et/ou ton programme complet ?

Je t'encourage à continuer de briller stp, sache que tu éclaires quelqu'un quelque part...

bises
chantal

Anonyme a dit…

Cher Bruno,

Que voilà une insomnie féconde !!!

J'ai eu beaucoup de plaisir à te suivre à travers ton évocation des bienfaits
d'être en vie, une magnifique ode à la joie et au bonheur qui a trouvé echo en
mon coeur...

Que la joie demeure...!

Tendresse,

cathou